Editorial

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11755688_934875683242045_1177210183163041531_n Les deux dernières décennies ont opéré des bouleversements majeurs et irréversibles dans la production des informations et dans leur consommation. Bienvenus dans l’ère de l’actualité jetable. Internet et l’avènement des réseaux sociaux ont donné naissance à des besoins nouveaux que les quadragénaires n’ont pas connu lorsqu’ils étaient adolescents. L’information n’est plus un monopole du seul JT de 20heures ni des journaux à parution nationale et internationale. De partout et pour tous, il est devenu possible, avec très peu de moyens, de produire du contenu à usage informatif.

De l’audiovisuel à l’écrit dématérialisé, la frontière est de l’ordre de epsilon. Il n’est plus nécessaire d’avoir un local et des grosses structures, seule la créativité est l’unité de valeur.

Hier comme aujourd’hui, si l’information n’est plus un monopole, il faut reconnaître qu’elle tend à disparaître pour laisser place à la communication. Tous les grands médias partout sur la planète ne font plus de l’information dans les règles de l’art avec les principes de l’éthique et de la déontologie. La monétisation de l’information a engendré son épuration, son formatage et son asymétrie. Selon les pays, les mêmes situations ne bénéficient plus du même traitement selon que l’on soit de la haute société ou du prolétariat.
On constate deux pôles majeurs traités différemment dans les médias à audiences planétaire : le sud est la risée et le nord l’exemple. Les pays développés ont profité de leurs avantages absolus dans le domaine de l’information et de la communication pour définitivement assujettir ceux du sud. L’impact des grands médias de nations colonisatrices sur les opinions du Sud est tel que les médias de ces pays sont discriminés et dénigrés. L’information donnée par les médias du sud est prise avec des pincettes. A côté de cela, les esprits au sud sont assez ouverts pour déceler la fabrique d’opinion des grands médias du Nord. Au sud, les populations sont assez matures pour disséquer le rôle de communicant des médias du nord au profit des projets expansionnistes de ces derniers. Ces connaissances devraient suffire à provoquer un divorce si nous étions dans un cadre où la concurrence pure et parfaite était établie. La plupart du temps, les visions propres au sud, les cultures du sud, les politiques et politiciens, les jeunesses, les us et coutumes et l’humain du sud sont sapés dans leurs substances au profit de la manière occidentalisée.
Malgré la capacité qu’ont les individus et les organisations du sud à contredire l’information communicante fournie par le Nord, le chantier d’information au sud par le sud reste entier. Malgré la possession d’outils et de connaissances pour produire l’information et la diffuser par le canal d’une communication propre au sud et aux peuples du sud, le chantier reste entier.
RP médias s’inscrit dans une logique de rupture totale avec le principe de “temps de cerveaux disponible “. Il est déterminant pour nous de rechercher l’information, la produire sous tous les formats (écrit, audio, vidéo, photo, papier, dématérialisé) et la diffuser partout où nous le souhaitons. Il est nécessaire pour nous de nous inscrire dans un cadre de travail d’information professionnelle et de communication maîtrisée et ciblée. Nous avons intégré les codes de l’information sur internet, maîtrisé les réseaux sociaux vecteurs de rapprochement entre d’une part les différents peuples et d’autres part ceux qui fournissent l’information et ceux qui la consomme.

Maîtriser l’information concernant  le Mali en particulier et l’Afrique en général est notre cheval de bataille. Offrir et promouvoir une alternative à la pensée unique qui veut que la bonne source d’information  soit celle des médias main stream est notre leitmotiv. Être honnête et sincère quand il le faut dans le traitement de l’information concernant le Mali et l’Afrique est notre challenge. Apporter la contradiction au vecteur de la pensée unique de l’information à travers des analyses et témoignages est notre outil de défense. Stimuler le débat par une large palette d’émissions (politique, culturelle, sportive, sociétale etc.) est notre programme.

Le plus petit dénominateur commun entre tout ce que nous entreprenons est le principe du “pour nous, par nous”. Nous avons une ambition et nous la nourrissons de reportages, documentaires, émissions politiques, émissions culturelles sportives et d’analyses.

Nous nous sommes engagés à fournir l’offre d’information la plus correcte et professionnelle possible sur tous les supports qui sont ceux de RP médias. Nous faisons en sorte qu’un cadre de confiance et de crédibilité s’installe entre nous et nos lecteurs, nos followers et spectateurs. Les deux dernières décennies ont modifiées la face de l’information et de la communication, nous construisons les ponts nécessaires à la compréhension et à l’épanouissement des nouveaux types de consommateurs de l’information identifiables avec les termes tels que  followers, fans, like, buzz, Share, vues etc….

Yaya Salif MALLE alias Elijah De BLA

 

La rédaction

Yaya Salif MALLE alias Elijah De BLA : co-fondateur, directeur de publication et rédacteur en chef. Manager général de l’administration de la maison RPMEDIAS.

Baba DEME : Membre de la rédaction, reporter et monteur.  Chargé de mission production documentaire  

Moussa Mansa WAGUE : co-fondateur, membre de la rédaction, reporter, monteur et chargé de mission entreprenariat.

 Sadio NIAKATE : reporter, correspondant à Bamako

 Hawa TIMERA : reportrice photo et vidéo

 Sisi Adouni : membre de la rédaction, correspondante à Lagos

 

Marketing

Derrick AGYEMANG : chargé de mission création digitale, marketing et formation

 

Webmastering

Samira ABBACH : Webmaster, Web designer, programmation

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